Et encore d'autre article de "Offre Média"concernant l'apparition de l'espace TV sur le site de Dailymotion.
Article
Dailymotion prend des airs de catch-up TV. Le site de vidéo en ligne vient de lancer un nouvel espace dédié aux programmes TV. Baptisé simplement «TV», l’espace rassemble les programmes proposés par ses partenaires - 20 au total - dont BFM TV, France 4, M6, W9, NRJ 12, Direct 8, France 24, Arte, Motors TV, IDF1, des chaînes locales (LCM, TLM, France 3 Ile de France)... Ce nouvel espace, accessible sur la page d’accueil depuis le menu «Chaînes» est alimenté quotidiennement par de nouvelles vidéos. Il propose plusieurs manières de naviguer au sein de l’espace «TV» : par thématiques (News, Humour, Musique…), par types de programmes (Télé‐réalité, Docus & Reportages, Culture Pub…) ou bien par chaînes.
Exemples de programmes : Les 12 infos de Cyprien (NRJ 12), le JDD de IDF1, le Palmashow (Direct 8)... «Le nombre de partenaires présents dès le lancement démontre la confiance qui s’est aujourd’hui installée entre de nombreuses chaînes de télévision et Dailymotion. Relais des antennes et partenaire technologique, tout indique qu’un dialogue nouveau est engagé avec le monde de la télévision» explique Martin Rogard, directeur France de Dailymotion. «Cette première étape sera suivie par de nombreux projets» conclut-il.
lundi 29 novembre 2010
Dailymotion propose une forme de télévision de rattrapage
Un article qui a apparu dans "Offre Média" du 26/11/2010 et qui présent l'étude concernant l'acceptation des pubs par les téléspectateurs lors de la catch-up.
Article:
L'étude Reload (ViVaki)/NPA Conseil présentée lors de la conférence Hyper TV révèle que 29% des utilisateurs de catch-up TV se disent fortement dérangés pas la publicité en pré-roll (avant le programme), 37% se disent un peu dérangés et 31% ne sont pas dérangés. Ce qui fait dire à Philippe Nouchi, directeur des études médias de Reload (groupe VivaKi) : «l'utilisateur accepte le principe de gratuité contre de la pub».
En revanche, c'est nettement moins vrai pour le mid-roll (publicité pendant le programme) : 64% sont fortement dérangés.
Selon Sebastien Danet, président de ZenithOptimedia : «la catch up est un complément de quantité, en nombre de contacts, de modernité en terme d'expérience publicitaire et d'interactivité, et de qualité dans un environnement programme en accord avec l'ADN des marques de l'annonceur».
La catch up TV touche déjà 55% des internautes de 15 à 59 ans, avec autant d'hommes que de femmes. 60% des catch-uppers ont moins de 35 ans. 45% sont des utilisateurs réguliers. L'étude montre que les chaînes leaders mettent à disposition plus de la moitié des programmes en catch-up, sur TF1.fr (51% des programmes de TF1), sur M6 Replay (61% de M6) et sur pluzz.fr qui diffuse 68% et 48% des programmes de France 2 et de France 3. Ces taux grimpent si l'on considèrent la tranche horaire 18h-minuit : 83% (TF1), 91% (M6), 76% (France 2) et 79% (France 3).
77% des recherches de programmes en rattrapage se font directement sur le site de l'éditeur. 84% des catch-uppers ont le réflexe d'aller visionner une émission lorsqu'ils l'ont manquée à la TV.
Le top des genres de programmes regardés régulièrement est nettement dominé par les séries américaines (45%) devant les magazines (26%) et les séries françaises (17%).
Autre enseignement : pour 46% des interviewés, le délai de 7 jours est trop court pour la mise à disposition des programmes en rattrapage.
L'étude a été réalisée entre le 31 août et le 10 septembre, auprès de 1069 internautes de 15-59 ans, ayant un usage régulier ou occasionnel de la catch-up TV.
Article:
L'étude Reload (ViVaki)/NPA Conseil présentée lors de la conférence Hyper TV révèle que 29% des utilisateurs de catch-up TV se disent fortement dérangés pas la publicité en pré-roll (avant le programme), 37% se disent un peu dérangés et 31% ne sont pas dérangés. Ce qui fait dire à Philippe Nouchi, directeur des études médias de Reload (groupe VivaKi) : «l'utilisateur accepte le principe de gratuité contre de la pub».
En revanche, c'est nettement moins vrai pour le mid-roll (publicité pendant le programme) : 64% sont fortement dérangés.
Selon Sebastien Danet, président de ZenithOptimedia : «la catch up est un complément de quantité, en nombre de contacts, de modernité en terme d'expérience publicitaire et d'interactivité, et de qualité dans un environnement programme en accord avec l'ADN des marques de l'annonceur».
La catch up TV touche déjà 55% des internautes de 15 à 59 ans, avec autant d'hommes que de femmes. 60% des catch-uppers ont moins de 35 ans. 45% sont des utilisateurs réguliers. L'étude montre que les chaînes leaders mettent à disposition plus de la moitié des programmes en catch-up, sur TF1.fr (51% des programmes de TF1), sur M6 Replay (61% de M6) et sur pluzz.fr qui diffuse 68% et 48% des programmes de France 2 et de France 3. Ces taux grimpent si l'on considèrent la tranche horaire 18h-minuit : 83% (TF1), 91% (M6), 76% (France 2) et 79% (France 3).
77% des recherches de programmes en rattrapage se font directement sur le site de l'éditeur. 84% des catch-uppers ont le réflexe d'aller visionner une émission lorsqu'ils l'ont manquée à la TV.
Le top des genres de programmes regardés régulièrement est nettement dominé par les séries américaines (45%) devant les magazines (26%) et les séries françaises (17%).
Autre enseignement : pour 46% des interviewés, le délai de 7 jours est trop court pour la mise à disposition des programmes en rattrapage.
L'étude a été réalisée entre le 31 août et le 10 septembre, auprès de 1069 internautes de 15-59 ans, ayant un usage régulier ou occasionnel de la catch-up TV.
lundi 25 octobre 2010
dimanche 10 octobre 2010
Après MIPCOM
Le lien à abuser avec des conférences et les questionnes que le monde de média se pose aujourd'hui:
http://www.mipworld.com/en/mipcom/
http://www.mipworld.com/en/mipcom/
lundi 22 février 2010
MIPTV 2010
dimanche 21 février 2010
La croissance de VOD
Selon Satellifax, le marché de la VoD a connu en 2009 une croissance en volume de 63 % avec 23 millions de transactions, représentant une croissance en valeur de 54 % à 82,4 millions d'euros.
Si la tendance se confirme, le marché de la VoD pourrait s'élever à plus de
125 millions d'euros en 2010.
Si la tendance se confirme, le marché de la VoD pourrait s'élever à plus de
125 millions d'euros en 2010.
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